Quand faire, c’est croire (3)

Le rituel est un moyen d'inviter le fétiche à agir, créant une alliance entre l'homme et le fétiche à travers divers éléments matériels et des communications non verbales. La relation entre le fétiche et son maître interroge la notion de personne, qui varie selon les contextes culturels, soulignant la complexité de l'identité personnelle.

Quand faire, c’est croire (2)

Charles de Brosse introduit le fétiche en 1760, décrivant une religion centrée sur l'adoration d'objets inanimés, perçus comme dotés d'une force mystérieuse. Le terme, hérité des marchands, a évolué dans un contexte d'ambiguïté et de préjugés. Les fétiches représentent des énergies manipulables, établissant une relation mystique entre humains et objets.

Quand faire, c’est croire (1)

Ce texte explore la notion de "faire" dans le contexte culturel, inspiré par J. L. Austin et les objets religieux. Il évoque les fétiches africains et leurs significations, le vocabulaire de la fabrication et le lien entre artisanat, intentionnalité et pouvoir spirituel dans différentes cultures, notamment au sein des sociétés mandingues et maories.

Propulsé par WordPress.com.

Retour en haut ↑