Une femme comme moi

Mon dernier roman est disponible.Je vous livre la 4ème de couverture : "Paris 2022. Valentina, une androïde dotée d’une I.A. de dernière génération capable de s’auto-améliorer, est l’assistante d’Héloïse, jeune courtière en livres anciens spécialisée dans les expéditions maritimes. Valentina va s’identifier à elle et chercher à acquérir sa liberté.Au hasard d’une vente aux enchères,... Lire la Suite →

Des dessins de Sarah Stone à Sarah Island

Comme je l’annonçais précédemment, dans le cadre de l’exposition « Aventure & Erudition » organisée par la Galerie Meyer Oceanic Art et à l’occasion des Jeudis des Beaux-Arts, j’ai présenté le 5 octobre dernier, la toile de fond de mon dernier roman Sarah Island 1824. Le destin d’un Curieux.Une vidéo a été tournée sous l’égide... Lire la Suite →

Au-delà du destin d’un Curieux

Le jeudi 5 octobre à 19h, dans le cadre de l'exposition "Aventure & Erudition" organisée par la Galerie Meyer Oceanic Art et à l'occasion des Jeudis des Beaux-Arts, je présenterai la toile de fond de mon dernier roman Sarah Island 1824. Le destin d'un Curieux.En effet, la trame romanesque se déploie entre 1860 et 1824,... Lire la Suite →

Sarah Island 1824 – Le destin d’un Curieux

Deux ans après Un crâne dans ma tête, je vous propose un second roman.Ci-après la 4ème de couverture et le sommaire... On pouvait en ces temps naître sous une royauté, partir autour du monde les moments d’une Révolution et la durée d’une République, revenir sous les cieux d’un Empire. C’était une époque où l’histoire naturelle... Lire la Suite →

S5. E5. Réalité (fin)

Heidelberg, juillet 1900 Je referme le carnet de Luca.Ma décision est prise, je vais retourner à Kapsu. Mon bébé est là, il m’attend. Des hommes en blouses blanches sont venus me chercher ce matin. "J’ai appris autrefois, quand j'étais jeune,À peindre des tableaux, de beaux tableaux corrects,À jouer de belles sonates sans fausse note-Sonate du... Lire la Suite →

S5. E4. Des êtres androgynes

J’ai dû longtemps dormir. Cette odeur de pourriture est infecte. Il me semble que des gouttes de sang tombent sur moi comme si la grotte tout entière saigne. L’oppression me gagne. Je me sens enfermé dans un organisme vivant.J’ai mis du temps à les discerner elles aussi… Et pourtant, peu après je ne vois plus... Lire la Suite →

S5. E3 Tetak

Printemps 1897 Je suis resté plus de six mois près de Konos. Palou me protégeait d’une certaine façon, et je sentais émaner de lui une empathie à mon égard. Cela me réconfortait. Avec lui, j’ai cultivé un jardin et j’ai travaillé dur pour avoir ma place au sein du village. Je me sentais un peu... Lire la Suite →

S5. E2 1896 – Malanggan

Printemps 1896 J’ai déjà vu tant de choses, pourtant il existe en moi une force impérieuse qui me pousse toujours plus loin. Je me suis installé à Lesu. Ce village, comme les autres de cette côte, connaît les Blancs et j’ai été accueilli sans agressivité par ce que je suis seul et ne peut être... Lire la Suite →

S5. E1. Juin 1895-1ers contacts

Marie découvre les notes laissées par Luca... 5 juin 1895 Après un voyage houleux, je suis arrivé à Nusa. J’ai rencontré Carl Ribbe, l’entomologiste allemand dont m’avait parlé Thiel. Il était intéressé par les activités de collecte de la Hernsheim compagnie et, comme je lui rapportais ma discussion avec Thiel, il voyait d’un bon œil... Lire la Suite →

S4. E6 Après la mort, avant l’oubli

"Et très certainement, je suis mort depuis longtemps, je suis déjà suicidé. On m’a suicidé, c’est-à-dire. Mais que penseriez-vous d’un suicide antérieur, d’un suicide qui nous ferait rebrousser chemin, mais de l’autre côté de l’existence, et non pas du côté de la mort. Je ne sens pas l’appétit de la mort, je sens l’appétit du... Lire la Suite →

S4. E5. Aller-retour

Festetics partit au tout début de l’année 1896 pour le nord de la Nouvelle-Irlande, avide de pouvoir collecter des objets Malanggan.Peu après, Richard Parkinson vint me trouver à Mioko et me proposa de me ramener en Europe. Son offre me surprit ; mais bien que très aimable, je m’aperçus qu’elle n’était pas totalement désintéressée. Il... Lire la Suite →

S4. E4. De Tolna

Vers Noël, une magnifique goélette s’approcha de Mioko. À son bord vivait un curieux couple, parti deux ans plus tôt de San Francisco. J’appris très vite qu’il s’agissait du comte et de la comtesse Festetics de Tolna. Le mari, Rodolphe, était un aristocrate austro-hongrois. Son épouse, Eila, m’avait confié, plus tard, que la visite de... Lire la Suite →

S4. E3. Départ

C’est ainsi que nous nous étions retrouvés au bal de la belle Emma en cette soirée du 1er mai.Luca était venu chercher les dernières informations que Parkinson pouvait lui fournir avant son départ qui avait été tout au long du printemps, mûri, médité jusqu’à un point de non-retour malgré notre amour qui semblait avoir été... Lire la Suite →

S4. E2. Approche

Un jour de Noël 1894 où j’aurai tant voulu que nous fussions réunis, Luca décida de partir afin de s’enfoncer dans les territoires du sud de la Nouvelle-Irlande. Pour quelques jours seulement, avait-il affirmé. Ce serait en dehors de son contrat avec la compagnie Hernsheim. Il se rendrait simplement au village de Muliama dont Kawi,... Lire la Suite →

S4. E1. Ma tête à couper

Peu de temps après, la décision de Luca était prise. Il était maintenant convaincu qu’en Nouvelle-Irlande, dans cette île de l’archipel Bismarck, il trouverait les spécimens de crânes les plus hallucinants et probablement encore des masques et des sculptures que notre imagination n’était même pas capable de concevoir. Et cela l’excitait. Richard Parkinson lui avait... Lire la Suite →

S3. E6 bis Zarathoustra

« C’est là aussi que j’ai ramassé sur ma route le mot de "Surhomme" et cette doctrine : l’homme est quelque chose qui doit être surmonté, – l’homme est un pont et non un but : se disant bienheureux de son midi et de son soir, une voie vers de nouvelles aurores […] Je leur... Lire la Suite →

S3. E6 Les dessins de Finsch

Quoiqu’il en soit, cette rencontre allait être décisive pour les années à venir. Ce n'est pas cette discussion, pourtant essentielle sur le fond, qui en fut le déclencheur mais ce que Bastian apportait dans ses bagages. En effet, l’année précédente, Otto Finsch avait fait paraître un ouvrage (1) à Vienne sur les mers du Sud,... Lire la Suite →

S3. E5. Des yeux sans visage

De retour à Friedrich Wilhelmshafen au début de l’année 1894, nous étions riches d’une forte expérience, mais nos projets pour le futur immédiat n’étaient pas clairs… Nous avions certes des objets intéressants, le korwar de Biak, le crâne que Luca s’était approprié dans les collines au loin de Kanganamam, et le porte-crâne de Yentchan. Nous... Lire la Suite →

S3. E4. Crânes

Nous avions décidé de ne rien demander à nos hôtes en ce qui concernait nos collectes. Cependant, fidèle à sa promesse faite à Henri Jouan, Luca souhaitait réellement acquérir un crâne surmodelé, mais il ne savait pas comment s’y prendre. Je me souviens du printemps 93, malgré les tensions parfois existantes avec les autres villages,... Lire la Suite →

S3. E3. Objets des hommes

Il y eut encore d'autres occasions où de curieux masques ont fait leur apparition. Lagina, qui faisait partie des plus vieilles femmes du village, m’a confié que ceux-ci étaient aussi utilisés dans d’autres rites que nous, les femmes, n’avions pas le droit de voir. Mais qu’est-ce que le secret ? J’eus le sentiment, au cours... Lire la Suite →

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