Ayant bu des mers entières nous restons tout étonnés
Que nos lèvres soient encore aussi sèches que des plages
Et partout cherchons la mer pour les y tremper sans voir
Que nos lèvres sont des plages et que nous sommes la mer.
Attar – Poète persan – XIIe siècle.
Photo de l’auteure
les figures magiques
que dessine le vent sur les reliefs du désert
sont aussi celles
qu’il trace sur les remous de la mer…
ta photo me fait rêver…
bonne journée
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Merci pour ce petit poème qui éclaire cette fin de journée.
A bientôt.
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