À l’Ecole Nationale des Beaux-Arts jusqu’au 14 janvier 2007.
On peut reprocher à Jean-Baptiste Huynh ses regards vitreux, glauques, ces portraits posés mais voulus ainsi.
Mais on ne retirera pas le grain de la peau, les mains ridées, les visages usés; et c’est par eux que j’imagine le labeur, au soleil écrasant; la peine et les joies d’un quotidien.
J’y vois, non pas un paysage comme le photographe aime qualifier son portrait, rien de pérenne ni même de figé; mais le nu d’une vie qui se déroule, interrompue quelques instants seulement.
Photo : Mali – Portrait XXIV © Jean-Baptiste Huynh.
j’aime beaucoup tes mots pour dépeindre le » nu « de la vie…
amitiés
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